Destins

Des destins de l'épervier et du merle, lequel s'est montré est le plus cruel ?

Le rapace – proie entre les serres – s'est tué en heurtant une vitre.

 Photo prise de nuit, sous la pluie, quelques heures après l'accident – novembre 2012

Comments

[thé âche]

destins croisés, la vie de deux innocents (faut bien qu'il en reste) s'est brisée sur la croisée. je n'entammerai pas une nouvelle croisade pour la défence de nos amis ailés. reste à les
empailler ; et faire un beau monument aux oiseaux ( voir le blog pjtg ces derniers jours). et écouter H Aufray et D Annegard (entre autres)


signé : X (lire une...)

[Yves]

Deux Monuments aux oiseaux : ceux de Max Ernst et de François Béranger.

[Telle]

tu vas faire la une du maine??

[Yves]

Ou des Alpes mancelles libérées !

[Martine]

pour moi le destin de l'épervier est le plus cruel il aurait pu manger le corbeau avant de heurter la vitre tout de même!

[Yves]

Personnellement, si je devais mourir d'indigestion, j'aimerais que ce fût après un bon repas.


(Pour le corbeau ! Tu vois les choses en grand.)

[Cristophe]

Je vois dans les décorations de noël des dessins de sapin, de bonhomme de neige... qui se collent aux vitres. Peut-être  faudrait-il en mettre pour les oiseaux ?

[Yves]

J'avais un temps collé une silhouette d'épervier sur une vitre pour que les passereaux ne viennent pas s'y cogner le bec.

[Lily]

Celui du rapace, évidemment, piégé par une surface vitrée, comme il y en a de plus en plus dans les constructions. Quant au merle, il était déjà mort lorsque l'accident a eu lieu ...

[Yves]

Tu as sans doute raison : la vitre n'est pas dans la chaîne alimentaire.