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9 février 2008 6 09 /02 /février /2008 00:00
Trois fleurs un vase– Pourquoi ?
– Je vais vous expliquer.
(
Avez-vous remarqué les deux tirets d'un dialogue : qui répond n'est pas qui questionne ? Plus économe en tirets, l'homme politique répond à la – bonne – question qu'il a lui-même posée. Revenons à
)
notre propos.
– Pourquoi ce titre : Trois fleurs, un vase ? Au mieux, on ne voit qu'un poisson rouge...
– Je vais vous expliquer.  Il y a, à la création, deux fleurs dans un vase...
– Pour le même titre ?
– Pour le même titre ! Humour !
– Mouais... Et on cherchait en vain la troisième...
– Jusqu'à ce que ce poisson arrive...
– Mais ce n'est pas une fleur !
– On n'allait pas chipoter. Une fleur, un poisson... De toute façon, les fleurs sont fanées. Et je connais une rue du Pont de 4 mètres qui ne conduit ou passe plus sous aucun pont.


Trois fleurs, un vase
2008, acrylique sur toile
100 x 81 cm



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commentaires

M
Un poisson, un bocal ! ...Au cas où tu chercherais un nouveau titre.
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Y
Merci. Je le note.
A
Un petit poisson, un petit poème s'aimaient d'amour tendre...Et se sont rejoints ici.J'aime beaucoup ce poisson perché. Je suis sûr qu'il attend quelqu'un. Je te bise en courant, je file voir chez le compère Dorio :-)Ps rinavoir : sais-tu que ton captcha, c'est abomiffreux pour les astigmates ?
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Y
Nan ! Sais pas.
A
Le vase perdit sa fleursetvit rouge.
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Y
Vit rouge ! Qu'entends-tu par là ?
C
Merci pour la poésie de cette image et de ce texte  ...
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Y
Le poème est de Jean-Jacques Dorio. N'hésite pas à visiter son blog.
J
LES ARMES SECRÈTES*Les poètes profonds nous délivrent du sérieuxTous sans exceptionIls manient la pioche et l’appel     des bâtons et des pâtés enfantins     des lettres et des incidents de la rue     de toute la littérature aussi     et de la pôaisie     ( on ne sait jamais        et ça peut servir)On ne sait jamais       d’où le gibier peut venir...Contes à réveiller les mortsPetits poissons dans le bocalQui soudain ôtent leurs masquesEt nous regardent avec leurs yeux dorésEt leur rire éternel* une nouvelle de Julio Cortazar
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Y
Ceux des amies – & amis – et ce poème pour lequel la toile semble avoir été réalisée : petits bonheurs de la découverte des commentaires... Toujours étonné de leur proximité dans mon univers. Les poètes profonds nous délivrent du sérieux s'applique si bien à Sodome et Grammaire de Jean-Pierre Verheggen dont je me repais depuis trois jours sans trouver moyen d'en donner l'envie de lire.