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7 juillet 2007 6 07 /07 /juillet /2007 23:00
CamembertLe camembert nous rappelle que la poésie nous est aussi nécessaire que la vérité. (Pierre Boisard)*

J'admets - juste un peu - sortir la phrase de son contexte. Ici, la poésie se réfère à l'histoire enjolivée de Marie Harel, jolie fermière normande.

Enfin - et surtout - le camembert dont la pochette figure ci-contre, est particulièremnt goûteux.





* Source : journal Ouest-France, 6 juillet 07
Pierre Boisard, Le Camembert, mythe français, Odile Jacob, 2007
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commentaires

P
une esse c'est égarée quelque part (je ne vous dirai pas où, un peu d'imagination, les amis, quoi.)
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P
J'ai longtemps cru qu'il s'agissait d'un veau sousmarin. Et, franchement, cela m'interpelait quelque part ! (je ne vous dis pas où, un peu d'imagination, bordel!)
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Y
Au commencement, un camembert. Qui coule. Un peu. Tu lances une bouée. Tu remontes un phoque gris. Par la queue.
L
Et bien sûr on en oublie le fournisseur principal sans qui le camembert n'éxisterait pas... j'ai nommé : la laiterie ramasseuse qui enlève le lait de la bouche des p'tits veaux.
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Y
Ah le veau sous la mère. Tu parles d'un temps que les moins de vingt ans, etc.
P
- et si on s'organisait un trafic de calendos !<br /> - Chère consoeur, je propose qu'on s'organise une trafic de Marie Harel.<br /> - D'accord, mais seulement la tignasse.<br /> - C'est parti.
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Y
Et la tarte au camembert et à la bière de Laurenne.
M
oui mais alors, la vérité toute crue... au lait cru et moulée à la louche, une vérité toujours bonne à dire ou à déguster !
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Y
In calendos veritas.