Avant le selfie et le belfie : le glassfie ! (La photo date de 2010).
Avant le selfie et le belfie : le glassfie ! (La photo date de 2010).
Panneau d'information au bord de l'étang. St-Symphorien – juillet 2014
Le premier, on l'encadre avant qu'il prenne place au dessus du buffet bas de la salle à manger, mais on ne sait jamais quoi faire des suivants. Ici, le bureau de la société de pêche l'a choisi pour support de ses placards informatifs. Campagne idyllique avec chaumière et petit pont de pierre : le puzzle.
Honfleur – juillet 2014
Où Buren, enfant, passait-il ses vacances ?
À dater de la Fête nat., publication allégée : 2 ou 3 billets par semaine.
Honfleur – juillet 2014
C'est au pied du mur qu'on voit la chaise du maçon.
Note :
Le titre du billet aurait pu être emprunté à un commentaire de thé ache, mais je l'ai devancé sur ce coup-là.
Autre note (à caractère privé) :
Bon anniversaire au natif du 11 juillet.
À Honfleur, le Jardin des personnalités rend hommage aux figures locales.
– À propos de figure, dites donc, monsieur Baudelaire, vous ne ressemblez pas à votre photo ?
– Cré nom, c'est sûr, c'est le concierge de la rue Morgue qui a posé pour le statuaire !
Jardin des personnalités, Honfleur – juillet 2014
Si on cherche à savoir ce qui relie le poète à la ville, il suffit de relire Mon cœur mis à nu.
Hygiène, conduite, morale. — Deux parts. Dettes (Ancelle).
Amis (ma mère, amis, moi).
Ainsi, 1000 francs doivent être divisés en deux parts de 500 francs chacune, et la deuxième divisée en trois parties.
À Honfleur. — Faire une revue et un classement de toutes mes lettres (2 jours) et de toutes mes dettes (2 jours). (Quatre catégories, billets, grosses dettes, petites dettes, amis.) Classement de gravures (2 jours). Classement de notes (2 jours).
Finalement, un poète, ça n'est pas toujours des rimes riches.
Les intermittents du spectacle ne savent plus sur quel pied danser.
Préparation de la pièce Dame Jeanne. Novembre 2011. Christine pendant l'échauffement.
Maison à l'abandon – Piacé – juin 2014
– On prétend qu'une chaise jetée en l'air retombe toujours sur ses pattes... Je me gausse.
– T'es pas contente de fêter l'été avec Armand Barthet ?
« Jeanne, vois le beau soleil ! appuie ta main sur mon bras, – nous irons ensemble courir dans les luzernes où la caille mêle son chant saccadé à nos doux entretiens, et je te montrerai l'Été,
Le brillant Été, avec sa ceinture de bluets et sa couronne d'épis mûrs.»
* extrait de L'Été, in L'Artiste, 1er août 1849