À lire la conclusion de l'Abbé Cane, on ne m'enlèvera pas de l'esprit que Cane soit un nom de plume, même si le vocabulaire utilisé relève de l'ecclésiastique :
« Nous verrons cette fourche au Salon* du Cycle. En attendant que tous ceux qu’elle intéresse aillent la voir ou demandent des renseignements complémentaires chez le fabricant, Fouilleul, 17, Cours de Vincennes. Nous sommes à peu près sûrs qu’ils l’adopteront et béniront le nom de l’inventeur, M. de Loma, qui peut se vanter d’être un des bienfaiteurs du cyclisme. »
Remerciements :
– gallica.bnf.fr, pour l'article de Gil Blas ;
– les silos, maison du livre et de l'affiche, Chaumont, pour la réclame de la fourche de Loma ;
– l'ami qui m'a envoyé la carte de Toulouse-Lautrec, pour les trois billets que j'en ai tirés.
* À propos de salon, je serai au Marché de la Poésie, place St-Sulpice (Paris 6), pour une signature d'Urticantes et État de chaises, sur le stand des éditions Vincent Rougier (503), le vendredi 13 juin, en début d'après-midi.