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19 janvier 2014 7 19 /01 /janvier /2014 00:00

à Flora qui m'a inspiré ce dessin à son insu

 

 

Poétesse alanguie

 

 

En revanche, pas alanguie pour deux sous, cette autre poétesse qui prend Chemins de traverse, dans le dernier Choisi de l'Atelier de Groutel. Françoise Coulmin donne en sous-titre à son recueil : Les hommes passent. Et, dans ses poèmes, il s'agit bien d'une attention aux hommes ; on y rencontre dame à sa fenêtre, laveuses à la fontaine, courageux peuple d'Haïti, ruban de militants en colère. Je note aussi cette pensée pour Lucien Barbier, militant syndical, mort à Longueau, en 1987, des suites d'un matraquage par les forces de l'ordre. Françoise Coulmin, dont l'écriture va à l'essentiel, nous offre des images poétiques renouvelées dans un portfolio composé en caractères au plomb et illustré de vignettes.

 

L'Atelier de Groutel

Françoise COULMIN, Chemins de traverse, L'Atelier de Groutel, collection Choisi n° 23, 2014. Portfolio tiré à 62 exemplaires numérotés, 28 pages. 18 €. Bulletin de souscription à télécharger.

L'avant-lire est signé par Jean-Claude Touzeil qui présente sur le blog biloba le premier poème du recueil – En chemin.

 

On retrouve Jacques Renou, l'éditeur, dans Ouest-France du 18.01.14, édition Sarthe et la version en ligne du journal.

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commentaires

C
<br /> Canne nappée ?<br /> <br /> <br /> Cana pet ?<br />
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Y
<br /> <br /> Essaie encore.<br /> <br /> <br /> <br />
W
<br /> Du coup, j'envie Jean-Claude d'aimer Flora (qui peut-être le déFlora, mais c'est une autre belle histoire).<br />
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Y
<br /> <br /> Ne sois pas envieux, ça ne rajeunit pas.<br /> <br /> <br /> <br />
T
<br /> heureusement qu'elle ne cherche pas une rime à quatorze. ceci dit, c'est une page riche aujour'hui sur ahoui. aujourd'ahoui, les poète sont à la fête.<br /> <br /> <br /> signé : ah oui !<br />
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Y
<br /> <br /> C'est riche tous les jours, mais parfois ce n'est pas donné.<br /> <br /> <br /> <br />
F
<br /> Les cendres quelque peu malmenées de tonton Sigmund, à l'ombre de Juju me soufflent que canapé est l'anagramme d'anpéac, étonnant non ?<br /> <br /> <br /> Quant à Françoise Coulmin, c'est ma poète préférée et elle illustre bien ces mots de Totor: "Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent."Elle frappe plein coeur à l'intime, inlassable, vivante.<br /> <br /> <br /> Et belle.<br />
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Y
<br /> <br /> La chance qu'elle a d'être ta poète préférée !<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> À l'accent près, canapé a – aussi ! – pour anagramme pacane et comme dirait Mme Wiktionnaire – cousine de l'autre – qui n'est pas à une citation inutile près pour illustrer le<br /> mot : "Ces pacanes sont rances."<br /> <br /> <br /> <br />
M
<br /> Amis lecteurs n'hésitez pas à parcourir<br /> <br /> <br /> ces "chemins de traverse". <br />
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Y
<br /> <br /> Un incitation à lire en dehors des clous.<br /> <br /> <br /> <br />