Alimentaire

Deux étiquettes – juillet 2010

Temps de confitures et de conserves.

Une erreur d'orthographe s'était glissée dans le billet d'hier. Ne la cherchez pas, elle a disparu. J'ai consulté. Ma Grammaire méthodique du français*. Qui m'apprend, page 497, qu'en règle générale, le verbe s'accorde en personne et en nombre avec le sujet. Je me le tiens pour dit.

* Martin Riegel, Jean-Christophe Pellat, René Rioul, PUF, 1994.

Comments

[martine]

Pêches de vignes...

[Yves]

Quel beau couple... de feuilles.

[Cristophe]

Tu peux goûter aux produits merchandisés ?

[Yves]

La faculté me le déconseille. Sauf pour le vinaigre qui me donne un poil brillant.

[Topa]

Et pour les confitures de lait ?...

[Yves]

Je suis à la recherche de l'inspiration.

[anita]

J'y crois pas! Même chez toi, le marqueuting utilise des bonnes femmes à poil pour faire vendre! Je n'ose demander à quoi ressemble l'étiquette du pot à cornichons. (préterition, of course)


 

[Yves]

Pour les cornichons, les olives ou les câpres, c'est un détail du David de Donatello !

[Flora]

En ces temps de déconfitures, on ne sait plus à quel sein se vouer.

[Yves]

Avec les compotes, on peut encore compter sur ses ami-e-s.