21 mars 2007
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Plutôt court. Si court parfois que je dois préciser qu'il s'agit d'un poème - oui, ça ne se voit pas toujours.
J'écris... J'écrivais un poème par an.
Au printemps.
Pas la sève qui monte. Non. L'appel de l'ami Jean-Claude : "Tu m'écrirais bien un petit poème. Pour le printemps. Allez, je t'aide : ça se termine par et après." La règle changeait tous les ans. Dire l'effort demandé. Impossible de ressortir d'anciennes copies.
À Durcet, mais aussi à Bellou, à Ste-Opportune... on appelait ce temps, le Printemps de Durcet. On y venait de loin. On y vient toujours de loin. C'est un autre printemps - soyons modernes. Le samedi, on bat la campagne.
- Et le dimanche, on fend les flots ?
- Le dimanche, on tient petit salon du livre de poésie... *
* Battre la campagne, Fendre les flots sont deux recueils de Raymond Queneau.
Le programme des 31 mars, 1er avril