
Lacanienne : c'est quand il faut chaud.
Lisons de belles histoires.
Aujourd'hui, à propos d'esthétique,
le révolutio-m'être* :
« Dans une esthétique transcendantale d’inspiration lacanienne, "l’intuition extérieure" de l’espace n’aurait d’autre "géométrie" pure, a priori, que celle synchronique de la structure signifiante, comme lieu du langage, de l’Autre ou de l’inconscient.» – Rien compris !
– Il ne s'agit pas de comprendre – épater peut-être... – aussi, appliquons un traitement poétique à la phrase : la méthode S+7 de Jean Lescure
**. Et remplaçons chaque nom du texte originel par le septième nom trouvé dans le dictionnaire
***.
Dans une étable translucide d’institution laconique, "l’irruption extravagante" de l’espion n’aurait d’autre "geste" purulent, a priori, que celui systématique du simple subalterne, comme lieu du lapsus, de l’avarie ou de l’indigestion. Ce n'est guère plus compréhensible, mais on sait pourquoi. * David Pavón Cuéllar, Le révolutio-m'être, notions lacaniennes appliquées à l'analyse du discours en psychologie sociale, éditions Psychophores, Paris, 2006, p. 123.
** Sur le site de l'Oulipo.
*** J'ai également remplacé les adjectifs qui le méritaient bien.