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27 mai 2008 2 27 /05 /mai /2008 23:00
Nu– Tenez, mademoiselle, je me sens d'un naturel si lourd, si fainéant, que d'entendre seulement parler de travailler, les bras m'en tombent.*

* Alexis Piron, les Enfants de la joie, 1725

Nu, 2008, mine de plomb, A4

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commentaires

A
Marc: :-))) (mais vous ne touchez donc qu'avec vos membres dits supérieurs? ) (j'arrête, sinon je vais finir par demander comment vous embrassez, et c't'un bloug sérieux et familial, ici)
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Y
<br /> Je te sais gré d'avoir écrit "vous ne touchez" et non "vous ne vous touchez", ce qui aurait été inacceptable...<br /> <br /> <br />
M
Touchée, Anita<br /> Par un nu sans bras.<br /> Pérec aurait adoré.<br /> De toute façon, pas d'bras, pas d'chocolat.
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Y
<br /> Je dois reconnaître que tu as un sens de la répartie très affirmé.<br /> Pérec a écrit précisément : « Tout' façon, pas de bras, pas de chocolat !»<br /> <br /> <br />
A
moi, j'ai un commentaire pas drôle: je continue a être très touchée par tes nus, que je trouve extrêmement sensibles et sensuels.
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Y
<br /> Je dois reconnaître que tu fais preuve d'un goût très sur.<br /> <br /> <br />
L
"L'agriculture, comme la Vénus de Milo, manque de bras." Bainville. La Semeuse au bonnet phrygien, elle, elle en avait.
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Y
<br /> Et sur les prochaines pièces de 15 euros en argent, la Semeuse a aussi la cuisse véloce.<br /> <br /> <br />
L
Merci pour la preuve en image - à la mine de plomb - comme le sommeil du même nom !LIZAGRECE
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Y
<br /> Et à la mine d'or, pour un silence du même nom !<br /> <br /> <br />