Liseuse

Pour le plaisir du lecteur qui l'a demandée* : une reproduction de Ma liseuse, un avion passe, dans son intégralité. On voit l'avion – ou son ombre – sur des plans dont on ne sait jamais s'ils sont horizontaux ou verticaux. Et ce n'est pas moi qui le dirai : l'imprécision est voulue.

Ma liseuse, un avion passe, 1997, pastels, 29 x 26 cm

* Et encore, ai-je dû insister.

Comments

[Teka]

Très sympa, je suis content d'être passé par là.Cordialement.TekaPlease visit http://teka.over-blog.org

[Yves Barré]

Presently, I'm going to visit.

[Martine]

J'ai perdu ! Quelle tuile !

[Yves Barré]

– Bah ! Tant qu'on ne te présente pas l'ardoise...– Facile !– Eh ! C'est encore le matin.

[Martine]

Entre ton article de samedi et la rentrée des classes, j'hésite entre les petits beurs et les petits écoliers !

[Yves Barré]

C'est bien tenté. Mais c'était mission impossible. Quoique... comme disaient Jean-Romain Lefèvre et sa charmante épouse, née Pauline-Isabelle Utile : "Même en fermant les yeux, on reconnaît les Tuiles Amandes de Lu."

[Martine]

Ah oui, là on le voit nettement le navion ! Superbe !Et, moi aussi j'attends la réponse sur les gâteaux ! 

[Yves Barré]

Les gâteaux... Je n'y pensais plus. Une partie de ta réponse est juste (J'ai bien LU), mais Danone n'a pas mis tous ses biscuits dans le même panier avant de vendre aux États-Uniens. Si tu pouvais être plus précise...

[Cécile]

C'est très beau ... parce qu'en plus, l'avion, on ne le voit pas, on ne l'entend pas !

[Yves Barré]

Étonnant que tu écrives qu'on ne l'entend pas... parce que dessiner le bruit de l'avion a été une première intention. C'est pourquoi la silhouette en est prise dans le réseau de rayures.