19 juillet 2007
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Ce titre (Tiens...) en réponse à Jean-Claude qui me presse de lui avancer une chaise (Une chaise, Yves !...).
Je ressors cette petite chose publiée en janvier (états de siège - 13) et les commentaires érudits échangés.

Poulet-Malassis
éditeur des Fleurs du mal

Je ressors cette petite chose publiée en janvier (états de siège - 13) et les commentaires érudits échangés.

Poulet-Malassis
éditeur des Fleurs du mal

Le saviez-vous ? Charles Baudelaire, qui avait parfois de l'humour (rarement quand même) surnommait affectueusement son éditeur (alençonnais) "Coco mal perché"...
commentaire n° 1 posté par topa le 29/01/2007 08:00:53
Crénom !
réponse de Yves Barré le 29/01/2007 11:59:52
Drôle le "coco mal perché". Ce n'est pas une plaisanterie ? parce que Baudelaire ne passait pas pour un comique.
commentaire n° 2 posté par Noë le 29/01/2007 14:37:01
Précision pour Noë : c'est très sérieux ! et même historique : voir différents sites qui évoquent cette anecdote...
commentaire n° 3 posté par topa le 29/01/2007 16:55:02
Les journalistes lui donnaient du "Poulet-mal-Perché". Ces temps étaient durs. Les choses ont bien changé...
réponse de Yves Barré le 30/01/2007 00:42:56
Le procureur général du procès "Baudelaire" condamnant le poète et son éditeur se nommait Pinard : encore un visionnaire dans la lignée des "Cauchon" !
commentaire n° 4 posté par Kimberley le: 29/01/2007 22:39:09
Ce même Pinard qui dit : « monte à la tête, grise les nerfs, donne le trouble, le vertige et peut tuer aussi ! » en parlant... du parfum de certaines fleurs.
réponse de Yves Barré le 30/01/2007 00:26:15